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Les Mardis des HUG, présentation de la plasticité cérébrale

A l’occasion des mardis de formation des HUG, en lien avec Physio Genève, nous avons eu l’occasion de présenter le programme PD Warrior et exposer comment rendre l’activité physique neuro-active dans le cadre de la maladie de Parkinson. 


L’activité physique est primordiale pour le maintien des capacités physiques des patients, mais surtout pour stimuler notre cerveau de manière appropriée. A ce jour, la seule façon de diminuer la progression de la maladie reste l’activité physique, si celle-ci est prescrite de manière adéquate, c’est-à-dire qu’elle doit favoriser les nouvelles connexions synaptiques ou les renforcer ou encore permettre la création de nouveaux neurones. 


Tout ceci est possible grâce à un facteur neurotropique, le BDNF (Brain Derived Neurotropic Factor); que notre corps créé grâce à l’activité physique. Ce facteur de croissance est indispensable pour faire des changements au sien du cerveau. Article à venir.


Adeline HELL a exposé les différents principes d’une activité neuro-active en fonction du type de Parkinson. Dans tous les cas, elle nécessite de l’intensité, du challenge, de la répétition.


L’assemblée de physiothérapeutes étaient très attentive et participative. 


Faire avec la maladie et améliorer les symptômes, c’est possible !

N’hésitez pas à en discuter avec votre thérapeute pour en savoir plus ou revoir ces principes.


Importance de l'intensité dans l'activité physique.

La maladie de Parkinson regroupe une multitude de symptômes. L'activité physique doit s'adapter au type de Parkinson!

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